La LOCO présente au 28ème Congrès Léo Lagrange. Celui-ci a lieu à RENNES.
Didier est délégué à ce congrès. Il est parti la veille à Lyon afin de pouvoir prendre le TGV à 6h du matin. « En marche en direction de mon lieu d’accueil, j’ai eu la surprise de voir Jérémy (de l’Union Sportive Régionale Léo Lagrange) dans une rue qui promenait Louise, sa petite fille d’un mois. » Jérémy de l’Union Régionale Sportive Léo Lagrange (interview) | La Loco
Le lendemain matin, tous les congressistes étaient au rendez-vous et montaient dans le TVG qui devait conduire tout le monde à Rennes dans un temps record. Ce ne fut pas tout à fait le cas puisque le train est arrivé en gare avec une heure et demie de retard.
Un Congrès c’est avant tout un temps de rencontres. Et celles-ci ont commencé dans le TGV. « J’étais heureux de retrouver d’anciens collègues de Léo et d’évoquer le temps passé… ». Puis d’autres lors du Congrès.
Le Congrès est également un temps où la Fédération se projette dans le futur. Le thème du Congrès : JEUNESSES, le droit au BONHEUR !
Après l’ouverture, les congressistes ont pu découvrir à travers des tables rondes et des films, plusieurs des propositions de la Fédération pour ouvrir les portes du BONHEUR aux jeunes. Pendant trois années, La Fédération s’était mise en mouvement et avait provoqué des temps de partage et de réflexion.
Ce Congrès vient clore un cycle complet de travail collectif engagé au lendemain de la crise sanitaire sur le thème : « Jeunesses, le droit au bonheur ! »
Content de participer, j’ai tout de même été en manque par rapport à certains jeunes que la LOCO accompagne : les demandeurs d’asile. Ils sont une majorité à entrer dans la tranche d’âge de la jeunesse, mais contrairement aux derniers congrès, cette fois-ci, ils étaient absents physiquement et dans les interventions.
« Parmi les candidats au Conseil d’Administration, il y avait Jean-Luc BORNE qui a participé à une table ronde au cours de laquelle il a évoqué son engagement comme juge à la Cours Nationale des Demandeurs d’Asile (CNDA). J’en ai profité pour lui présenter La LOCO et lui ai fait part de l’intérêt qu’il vienne nous présenter ses missions. »
La LOCO a envisagé des temps avec les publics qu’elle rejoint : DEBATTRE ET S’INTERROGER. Nous profiterons de ces temps pour faire remonter la parole des exilés, adhérents à la LOCO, sur les grands enjeux pour ces jeunes qui ont tout quitté à cause des guerres ou des obscurantismes.
Ce sera l’occasion de donner la Parole à ceux que l’on charge de tous les maux. Ce sera l’occasion pour La LOCO de poursuivre son engagement au quotidien pour leur ouvrir les chemins des possibles et, pourquoi pas, contribuer à ce qu’ils aient, eux aussi, le droit au Bonheur en France !